Après-match
Il fallait aller la chercher celle la !
Incroyable retournement de situation que celui que nous ont offert les coéquipiers de Guillaume Lacour hier soir !Pour une fois, ils méritaient mieux.
Cette phrase résume à elle seule le match de hier après-midi.Paralysés par le froid
Hier soir, au terme d'un match ennuyant et fermé, le Racing a prit l'essentiel, à savoir les 3 points face à une belle équipe niortaise, qui au passage ne mérite pas sa place de reléguée. C'est Habib Bellaïd, d'un coup de tête puissant à la suite d'un coup franc signé Renaud Cohade qui remporte les 3 points à la 56ème.Que ce fut dur !
Hier soir sur le terrain du Gazélec d'Ajaccio, actuel pensionnaire de CFA, le Racing a sauvé les meubles. Il ne fallait pas lui en demander beaucoup plus et on ne retiendra donc que la qualification obtenue 2 buts à 1.Les buts strasbourgeois sont signés Cohade (57ème, sur penalty, comme d'hab') et Gameiro (80ème, un but à mi hauteur qui trompe le gardien adverse). L'unique but corse est signé Traoré (83ème), très actif hier soir et qui a posé d'énormes problèmes à la défense alsacienne.
La récréation
Hier soir, le Racing Club de Strasbourg s'est imposé 6 buts à 0 face à l'équipe d'excellence d'Ostwald. Duel strasbourgeois donc pour ces 64ème de finale de la Coupe de France où la hiérarchie a été respectée. (Anecdote : 1but marqué par division d'écart)V comme...Veni Vedi Vicci Vesoul
Qui a dit que la coupe de France est un piège ? Les strasbourgeois, en tout cas n'ont jamais entendu cette expression ou n'en ont pas pris compte hier soir pour vaincre une équipe de Vesoul assez palotte, surtout après les 2 buts de Mouloungoal en première mi-temps et le but à la 92ème, synonyme de KO total signé Pascal Johansen, meilleur homme du match d'ailleurs.Avec les trippes !
Hier soir, le Racing s'est imposé sur le score de 2 buts à 1 sur sa pelouse de la Meinau face à une très belle équipe de Libourne St Seurin.Victoire, Espoir et Blessure.
Pour le compte de la 29ème journée de L1, le RCS s'est imposé dans une Meinau chaud bouillante et remplie, sur le score de 2 buts à 0 face à Troyes.Les buts sont signés Diané (13ème) et Abdessadki (88ème).
Le RCS s'est imposé sans grande difficulté au vu d'une première période époustouflante ! Les occasions strasbourgeoises pleuvaient et les troyens étaient complètement dépassés. C'est donc tout logiquement qu'à la 13ème minute, sur une action emmenée par Gameiro, Diané marque son 5ème but de la saison et fait exploser de joie plus de 20 000 spectateurs.
Des occasions de Gameiro, Diané,... se multipliaient vers la demi-heure de jeu et il y avait à chaque fois soit un super arrêt de Le Crom soit un poteau pour empêcher la Meinau de vibrer encore une fois.
La seconde mi-temps n'était pas géniale de côté strasbourgeois car il y a eu très peu d'occasions mais il y a eu un but d'Abdessadki qui, bien servi par Alex Farnerud, a marqué du plat du pied un but ô combien important !
Il faut dire aussi que la blessure de Kévin Gameiro, un des meilleurs joueurs ce soir, a refroidit considérablement et la Meinau et les joueurs. Ce sont les ligaments croisés du genou gauche qui ont lâché et la (magnifique) saison de notre héros régional est désormais finie. Coup dur d'autant plus que l'arbitre n'a pas sifflé faute et n'a donné aucun carton. Il a été ovationné par le public à sa sortie et si on en est là aujourd'hui, c'est en partie à lui qu'on le doit.
"Cette victoire me laisse un goût amer puisqu'une fois de plus nous sommes touchés par le sort", dira Duguépéroux au micro de France Bleu Alsace. "J'avais dit à mes joueurs de se méfier de ce joueur qui est réputé pour être agressif. Je trouve cela consternant que le jeune Gameiro soit privé de cette fin de saison pendant que son adversaire ressort blanchi de cette rencontre; Aucun avertissement n'a été donné ni même la moindre faute sifflée".
Chose positive de cette soirée et sans doute la seule, on se retrouve désormais à 4pts de Troyes et donc l'espoir de voir le club se maintenir en L1 revient au triple galop, même si ce sera dur d'y parvenir sans Kévin Gameiro et sa fougue.
Vers la fin du match, une OLA a fait le tour du stade. Cela faisait bien longtemps que ce n'était pas arrivé...
On ne retiendra donc de cette victoire que l'espoir de maintient, les 3pts, la première mi-temps et bien sur la blessure de notre Kévin ainsi qu'un arbitrage plus que douteux.
On voit la vie en rose dans la ville rose !
Pour le compte de la 27ème journée de L1, le RCS, fatigué, s'est imposé 2-1 face à une piteuse équipe de Toulouse.Le RCS a enfin pu enchaîner deux victoires ! On en avait oublié le goût du côté du Rhin cette saison, mais les sensations sont vites revenues et le bonheur est très intense. On vit dans un rêve... pourvu qu'on ne se réveille pas de si tôt !
On pensait être désavantagé car nos joueurs ayant joué plus de 5 matches en 2 semaines semblaient fatigués. Pourtant, c'est le Racing qui fait le jeu, mène le rythme et marque le premier sur une superbe occasion de Pontus Farnerud à la 6ème minute. Toulouse ne suit pas et subit le jeu strasbourgeois.
On pensait que le TFC allait réagir à la deuxième période et on avait raison, mais contre la volonté d'une équipe et de tout un peuple (stressé derrière sa radio), la bataille était inégale et c'est logiquement finalement qu'un penalty est sifflé à la 61ème minute suite à des magnifiques dribbles de Diané stoppés courts par un défenseur qui fait faute en pleine surface. La rage d'Abdessadki a eu raison du gardien adverse et c'est ainsi que l'ancien toulousain marque et rassure tous les strasbourgeois. Eh oui, ce petit a le coeur bleu et non violet, n'en déplaise aux toulousains, qui ne lui on d'ailleurs pas fait confiance. Ils n'ont plus que leurs yeux pour pleurer ! Chacun son tour !
A la 76ème minute on a quand même tremblé quand Moreira a réduit le score, mais heureusement c'était sans conséquences !
Notre cher club fait renaître en nous un espoir de maintient...ne parlons pas trop vite mais si on gagne contre Troyes, on se retrouve à 4pts de...Troyes ! Et en 10 matches, on pourrait les dépasser et se maintenir. Maintenant, avec des « si » on serait champions !
« J'y crois encore, on est vivants tant qu'on est forts... » N'est ce pas de belles paroles tout ça ?
Opération maintient officiellement ré ouverte samedi en cas de victoire.
C'est la mode des paris en ce moment, alors, si le RCS se maintient, que ferez vous ?
Après match RCS-PSG
Pitoyable !Ce match en retard de la 24ème journée de L1 contre le PSG aurait du relancer notre chère équipe dans la course au maintient. Seulement voilà, les dieux du foot ne l'ont pas voulu ainsi et on ne peut pas s'opposer aux dieux.
Le Racing a donc concédé le nul 1-1 hier soir dans une Meinau assez bien remplie (plus de 17800spectateurs) mais qui sonnait creux suite à la grève des UB90. Une banderole « On en a plein dans le cul » a été déployée devant le kop durant tout le match et des rouleaux de papier hygiénique ont étés vidés à l'entrée des joueurs sur la pelouse.
C'était le match de la dernière chance, le match où, en cas de victoire, les espoirs auraient étés permis. Bref c'était le match qu'il fallait gagner.
Au final, outre seulement 1 point de gagné, un blessé s'ajoute à la liste déjà bien trop pleine d'absents. Il s'agit de Lepen qui a voulu tester à la 19ème minute la solidité de la tête à Devaux et qui en ressort avec un traumatisme crânien et une perte de connaissance. Il a eu le droit à une ovation du public mais malgré tout, il y a plus joyeux comme soirée... !
Mais pourtant cette soirée a très bien commencée car bien inspiré hier soir, Abdessadki centre sur Nemeth qui centre à son tour pour Farnerud qui remise vers Diané qui marque. La Meinau explose de bonheur et les espoirs fleurissent dans la tête de plus de 17803 personnes ! Mais bien sur, avec la poisse qu'on a et à force de trop reculer, Farnerud (ce n'était pas son jour !)commet une faute aux 30m. Pauleta se charge du coup franc et marque. Coup dur et vent glacial sur la Meinau surtout qu'à la fin du temps additionnel sur un magnifique raid, Diané croque la balle du 2-1. En effet le ballon roule jusqu'au poteau qui est...sortant ! Comme d'hab' quoi ! La deuxième mi-temps ne vaut même pas la peine d'être décrite tellement il n'y avait pas d'envie et d'occasions !
Le Racing est à neuf longueurs de Troyes, premier non reléguable mais qui compte une journée en moins. Autant dire que le maintient est à rayer des esprits définitivement car il n'y a malheureusement plus d'espoir ! Mais que voulez-vous ? Avec seulement deux ou trois joueurs qui semblaient concernés par le match et la victoire (Abdessadki, Kanté, Devaux) et une liste interminable de blessé et d'absents, on ne peut pas faire mieux.
Au fait, si vous avez loupé le festival de Cannes, ce n'est même pas grave car vous aviez RCS-PSG avec comme acteurs les pleureuses du PSG et un arbitre qui était complètement hors du coup et qui ne sifflait que pour le PSG !
Sale soirée du côté de la Meinau et match nul qui clôt les débats sur la possibilité qu'à le RCS de se maintenir...Dur et injuste !
Enfin !
On l'a enfin eu cette victoire, on a enfin vibré, on s'est enfin enflammé.... ! Bref, soirée de rêve hier soir à la Meinau face à l'ennemi messin !Le RCS s'est imposé pour la 1ère fois cette saison dans son antre et 2 fois en tout (victoire 2-1 à Nancy). Chose évidemment assez rare pour ne pas être savourée à 100% !
On ne va pas gâcher notre plaisir et on va tout de suite passer au détail des buts :
- 1er but strasbourgeois à la 11ème minute : un but de Le Pen sur penalty. Bien servi par Johansen, Diané rentre seul dans la surface, et Meniri le bouscule. Le penalty est parfaitement logique et Le Pen marque du gauche, malgré un plongeon du bon côté de Wimbée, qui effleure l'ONI (objet volant identifié appelé Ballon de football).
- 2ème but strasbourgeois à la 37ème minute : un but de Johansen. Metz, qui vient de se procurer plusieurs occasions, se fait contrer. L'action est vraiment très belle à voir tant elle est cinglante, avec une percée de Johansen plein axe, des appels de balle de ses coéquipiers pour attirer quelques défenseurs, et un tir du héros de la soirée de l'intérieur du droit, dans la surface, pour finir. Paga lève les bras au ciel pour dédier son but à son frère mais également à tout le public strasbourgeois et à ses proches ainsi qu'à son entraîneur.
- 1er but Messin à la 87ème minute : un but de Tum pour Metz. Sur un coup franc tiré de la droite par Proment, la tête de Tum surgit, tout en puissance au 2e poteau et marque.
Mais le réveil des Messins est trop tard et avec la rage des strasbourgeois, ils ne seraient en aucun cas parvenu à marquer un 2ème but.
Telle était la plus belle des soirées pour le public strasbourgeois mais également pou les joueurs, le staff, Dugué et Mathieu Dubrulle (qui fait son retour après quelques vacances).
Le héros de la soirée dira plus tard dans la presse : « Quoi qu'il puisse arriver ces prochaines semaines, je ne voulais pas perdre contre l'ennemi Metz, comme je ne veux pas que le Racing descende. » Son côté strasbourgeois a sans doute été un motif supplémentaire pour battre cette équipe messine et les achever d'un but extraordinaire.
Ce match est sans doute le match référence de notre alsacien, tellement il a été présent dans tous les aspects du jeu, que ce soit pour sa vision, ses passes en profondeurs, son aide à Gnoleba (cf. : Crampes (Loue a eu des crampes et avant que le staff médical puisse faire son apparition, Pascal a aidé le joueur en étirant sa jambe.)) et bien évidemment son but, qui restera longtemps dans les têtes des supporters alsaciens.
Revenons un petit peu en arrière, de 90 minutes et des poussières : les Messins débarquent et crient : ici, c'est Metz ! Heureusement pour eux, les UB90 étaient déjà rentrés dans le stade, sans cela, il y aurait eu des morts ! Les strasbourgeois présents, ont sans doute voulu leur répondre : Ici c'est Metz qui va se faire laminer ! Chose déjà plus logique.
A part ça, il ne faut pas non plus oublier le magnifique tifo déployé par les UB : Dans l'éclairage d'un soleil, un chevalier au bouclier signé du nom : UB90 tue le dragon messin...
A croire que ce chevalier nous a porté autant chance que les paroles du commentateur attitré de la Meinau. En effet il disait : et maintenant la compo de votre équipe, celle du Racing club de Strasbourg qui va gagner ce soir ! Chose assez rare pour être soulignée.
Alors ce soir,ne gachons pas notre plaisir et disons que le maintient reste un espoir permis ! (ndlr : Sochaux étant à 7pts)
Comme je l'avais dit dans l'avant-match, l'équipe au plus grand mental et celle qui avait le plus de gnac l'a emporté!
De plus, un nouvel élan de solidarité et peut-être le début d'une spirale enfin positive a sonné.
Pour le savoir, rendez vous à Bordeaux, dès samedi prochain en espérant que le RCS confirme ce nouvel engouement !
Qu'allons nous faire d'eux ?
Flash back sur la catastrophe appelée RCS-Lyon.Et voilà, une défaite de plus. Une perle de plus qui s'ajoute aux autres du collier qui est déjà trop plein. On a vu qui était le roi de la Jungle...et on s'en serait bien passé !
Que dire de plus ? Ah oui, l'éternel refrain que tout le monde connaît par coeur : ils n'ont pas si mal joué que ça, mais il manque juste un vrai attaquant capable de faire la différence.
Retour sur les buts à présent, avec l'intenable Wiltord, qui trompe Puydebois de la tête (6e) puis Berthod qui fait le break juste avant la pause (42e). Wiltord inscrit son 2ème but en partant du rond central (56e). Il finit son oeuvre à un quart d'heure de la fin du match avec une frappe puissante (73e).
Les occasions s'enchaînent par Wiltord (10e), puis Carew (vous savez, le géant qui nous a déjà fait mal à l'aller ?!) (12e). Puis on réagit par Pagis et Farnerud (15e et 38e). Pagis loupe une occasion en or (rien de nouveau cette saison) (47e), il est imité par Gmamdia (91e).
La défense prend l'eau, enfin... si on peut parler de défense parce que lors de ce match on peut vraiment douter qu'on en ait une ! Le milieu de terrain est inexistant face à des géants tels que Carew et des dieux du foot comme Juninho. L'attaque est à nouveau stérile malgré un Gmamdia qui commence à se réveiller. Faut dire que c'est pas facile face des monstres tels que Cris ou encore Caçapa et un gardien en état de grâce. Ne cherchez pas, il s'agit de Coupet et non pas de Puydebois ! Bref, un match à rayer de la carte, à enterrer au fin fond de l'Alaska.
Une question se pose tout de même après ce match : qu'allons nous faire d'eux ? Les baffer jusqu'à ce qu'ils gagnent enfin ? Ne plus aller au stade ? Impossible, la lueur rode et nous empêche de le faire. Qu'elle est énervante cette lueur d'espoir, elle nous fait sans doute perdre notre temps !
Que dire de plus à part que la L2 se rapproche ou le miracle. Ca dépend si on est optimiste ou pessimiste. Si on est optimiste, on dira qu'ils vont gagner ces 10 matches et surtout rapporter ces 30pts qui vont avec et qui nous font tant défaut en ce début de saison. Et si on est pessimiste on dira qu'ils sont au fond du trou et qu'ils ne vont pas s'en sortir. Même si on est optimiste il faut quand même rappeler que le spectre de L2 se rapproche et se fait de plus en plus voyant.
En conclusion, pour ne pas faire banal et pour éviter de se répéter trop souvent on va dire tout simplement que le RCS n'aime pas fêter les anniversaires puisqu'il perd lors du 5ème anniversaire du KCB comme il l'a fait lors des 15 ans des UB90 ! Un conseil, n'allez pas au stade le jour de votre anniversaire, vous risquez d'être déçu !
A quand le bonheur d'une victoire ?
Ca y est !
Le Racing s'est imposé 2-1 face à une équipe de Nancy malchanceuse. Les buts strasbourgeois sont signés Pagis (sur penalty à la 36') et Diané (62'). L'unique but nancéen est l'oeuvre de Zerka (48').Ca y est, le Racing a enfin pu goûter au parfum d'une victoire ! Que ça fait du bien...
Hier soir, le Racing a montré un tout autre visage, celui d'une équipe remontée, qui a soif de victoire. Les joueurs n'ont pas voulu baisser la tête, ni même les yeux. Ils ont montré qui ils étaient lors de ce derby. Peut être ce match sera-t-il le fameux déclic tant attendu ? Pour en être sur, RDV samedi à la Meinau pour le dernier match avant la trêve. A l'occasion de ce dernier match de l'année, le RCS affrontera Marseille. Duel entre l'OM de l'Est et l'OM de Mamadou Niang.
Revenons à notre match de samedi...
Ce derby était musclé, haché par les fautes, les simulations, l'énervement des joueurs, les antijeu, les sifflets de l'arbitre,...bref un vrai derby.
Comme prévu, les joueurs ont souffert, peut-être plus que prévu mais le jeu en vaut bien la chandelle, non ? En tout cas, avec ces 3 pts ramenés, on laisse la place de lanterne rouge à nos chers amis Messins et on se retrouve à 7 pts du 17ème à savoir Troyes. On retrouve donc l'espoir, ce fameux espoir de se maintenir.
Cependant la qualité de ce match reste vraiment très médiocre au niveau technique. Petite exception, car il y a toujours des exceptions, ce but signé Diané, digne de Ronaldinho lui-même !
Sur le Stade Marcel Picot, il y a eu une pluie de cartons de toutes les couleurs ! Passant du jaune pour Zerka (16e), Biancalani (22e), Diakhaté (37e), Adailton (43e) à Nancy et pour Pagis (20e), Lacour (67e) à Strasbourg ; au rouge pour Deroff (61',carton d'ailleurs immérité) et Duguépéroux (62'). L'arbitre est peut-être fan de ses cartons, ou les a-t-il payés tellement chers qu'il doit les amortir à hauteur de 6 cartons en moyenne par match ?! Cette question restera en suspend car personne, à part peut-être Mr Lennoy lui-même, n'est capable d'y répondre.
Au sortir de ce match, on peut dire que ce Racing là a mérité la victoire, tant il a joué avec ses trippes (et ses coudes ?!). Grâce à ce genre match, le RCS montre qu'il est fort mentalement mais physiquement également et que rien ne peut venir ternir le bonheur de cette 1ère victoire, inutile de préciser que c'est la 1ère de la saison, on ne le sait que trop bien.
Cette victoire tant méritée est venue stopper la spirale négative qui encombre notre cher club depuis le début de saison.
Mais pour l'instant joueurs, supporters et dirigeants on le droit de savourer. Ce n'est pas arrivé si souvent cette saison pour y faire impasse...
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