Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

[2012-2013] Sarre-Union 1 - 0 RCS | Après-match

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Flux RSS 218 messages · 17.639 lectures · Premier message par foot-france67 · Dernier message par lepatron

  • ericcantona a écrit, le 2012-12-01 21:37:27 :
    je noterais aussi que le président prend parole et cela doit-être la première fois me semble t-il a la fin d'un match cette saison!

    Certes. Mais pour ne rien dire. Ni calmer le peuple par quelques phrases ronflantes à la Aulas ou à la Tapie. Ou quelques excuses à la Furlan... Non. Du Victor Hugo disgressant sur la vaste plaine de Waterloo...
  • spoutnik a écrit, le 2012-12-01 21:39:09 :
    flashguy a écrit, le 2012-12-01 21:30:40 :
    Terrible le regard plein de détresse de François Keller lors des interviews d'après match ! Il a l'air paumé


    En effet. Je crois qu'il n'a pas de solution en l'état. D'ailleurs que ceux qui en ont une toute faite, lève la main. Non pas toi Yannickm. On te garde sous le coude au cas où. Mais les autres ? Allez ?

    Ce qui m'inquiète vraiment c'est l'attitude de Marc Keller. Je me sens tout mou. Il faut l'éliminer ! Boire Vittel c'est... euh... ben non... Un coup de Sylvaner, Marco ?


    Pouah si Hasek pouvait venir là, maintenant.... Ma main sur le feu que les effets se feraient sentir très rapidement sur le terrain... (+) De toute façon très honnêtement ça ne peut pas être bien pire.
  • spoutnik a écrit, le 2012-12-01 21:39:09 :
    flashguy a écrit, le 2012-12-01 21:30:40 :
    Terrible le regard plein de détresse de François Keller lors des interviews d'après match ! Il a l'air paumé


    En effet. Je crois qu'il n'a pas de solution en l'état. D'ailleurs que ceux qui en ont une toute faite, lève la main. Non pas toi Yannickm. On te garde sous le coude au cas où. Mais les autres ? Allez ?

    Ce qui m'inquiète vraiment c'est l'attitude de Marc Keller. Je me sens tout mou. Il faut l'éliminer ! Boire Vittel c'est... euh... ben non... Un coup de Sylvaner, Marco ?



    Un entraîneur doit être capable de pousser un coup de gueule, de dire qu'il attend plus. Là c'est tout juste si François ne s'excuse pas à la place de ses joueurs. Certes il a sa part de responsabilité, mais ce n'est pas en faisant profil bas qu'il va rebondir .... inquiétant.
  • spoutnik a écrit, le 2012-12-01 21:39:09 :
    En effet. Je crois qu'il n'a pas de solution en l'état. D'ailleurs que ceux qui en ont une toute faite, lève la main. Non pas toi Yannickm. On te garde sous le coude au cas où. Mais les autres ? Allez ?
    Une nouvelle remarque pleine de justesse de notre satellite soviétique.
    Une solution toute faite? Oh, je peux te trouver plein de solutions aqueuses vite fait. Mais avant de proposer une solution, ne faudrait il pas avant tout connaitre l'énoncé du problème?

    Le premier qui dit "le problème c'est qu'on gagne pas" ira faire 5 tours de terrain, car là, il s'agit d'une conséquence.

    Pour Waterloo par Hugo, j'ai trouvé Les Misérables, IIe partie, livre 1, ch. 9, mais surtout L'expiation.
  • C'est d'entendre le coach répondre " Moi je ne c'est pas quoi dire" au sujet d'un manque de rythme voir d'animation de jeu!!!
    Ils se voyaient tous en National avant même d'avoir commencé le championnat!
    Qu'ils retombent très vite sur terre car là ça commence à bien faire X-(
  • Hussard Il Vecchio : Il faut absolument en faire profiter tes petits camarades (da !) :

    [g]"L'expiation"[/g]

    Il neigeait. On était vaincu par sa conquête.
    Pour la première fois l'aigle baissait la tête.
    Sombres jours ! l'empereur revenait lentement,
    Laissant derrière lui brûler Moscou fumant.
    Il neigeait. L'âpre hiver fondait en avalanche.
    Après la plaine blanche une autre plaine blanche.
    On ne connaissait plus les chefs ni le drapeau.
    Hier la grande armée, et maintenant troupeau.
    On ne distinguait plus les ailes ni le centre.
    Il neigeait. Les blessés s'abritaient dans le ventre
    Des chevaux morts ; au seuil des bivouacs désolés
    On voyait des clairons à leur poste gelés,
    Restés debout, en selle et muets, blancs de givre,
    Collant leur bouche en pierre aux trompettes de cuivre.
    Boulets, mitraille, obus, mêlés aux flocons blancs,
    Pleuvaient ; les grenadiers, surpris d'être tremblants,
    Marchaient pensifs, la glace à leur moustache grise.
    Il neigeait, il neigeait toujours ! La froide bise
    Sifflait ; sur le verglas, dans des lieux inconnus,
    On n'avait pas de pain et l'on allait pieds nus.
    Ce n'étaient plus des coeurs vivants, des gens de guerre :
    C'était un rêve errant dans la brume, un mystère,
    Une procession d'ombres sous le ciel noir.
    La solitude vaste, épouvantable à voir,
    Partout apparaissait, muette vengeresse.
    Le ciel faisait sans bruit avec la neige épaisse
    Pour cette immense armée un immense linceul.
    Et chacun se sentant mourir, on était seul.
    - Sortira-t-on jamais de ce funeste empire ?
    Deux ennemis! le czar, le nord. Le nord est pire.
    On jetait les canons pour brûler les affûts.
    Qui se couchait, mourait. Groupe morne et confus,
    Ils fuyaient ; le désert dévorait le cortège.
    On pouvait, à des plis qui soulevaient la neige,
    Voir que des régiments s'étaient endormis là.
    Ô chutes d'Annibal ! lendemains d'Attila !
    Fuyards, blessés, mourants, caissons, brancards, civières,
    On s'écrasait aux ponts pour passer les rivières,
    On s'endormait dix mille, on se réveillait cent.
    Ney, que suivait naguère une armée, à présent
    S'évadait, disputant sa montre à trois cosaques.
    Toutes les nuits, qui vive ! alerte, assauts ! attaques !
    Ces fantômes prenaient leur fusil, et sur eux
    Ils voyaient se ruer, effrayants, ténébreux,
    Avec des cris pareils aux voix des vautours chauves,
    D'horribles escadrons, tourbillons d'hommes fauves.
    Toute une armée ainsi dans la nuit se perdait.
    L'empereur était là, debout, qui regardait.
    Il était comme un arbre en proie à la cognée.
    Sur ce géant, grandeur jusqu'alors épargnée,
    Le malheur, bûcheron sinistre, était monté ;
    Et lui, chêne vivant, par la hache insulté,
    Tressaillant sous le spectre aux lugubres revanches,
    Il regardait tomber autour de lui ses branches.
    Chefs, soldats, tous mouraient. Chacun avait son tour.
    Tandis qu'environnant sa tente avec amour,
    Voyant son ombre aller et venir sur la toile,
    Ceux qui restaient, croyant toujours à son étoile,
    Accusaient le destin de lèse-majesté,
    Lui se sentit soudain dans l'âme épouvanté.
    Stupéfait du désastre et ne sachant que croire,
    L'empereur se tourna vers Dieu ; l'homme de gloire
    Trembla ; Napoléon comprit qu'il expiait
    Quelque chose peut-être, et, livide, inquiet,
    Devant ses légions sur la neige semées :
    « Est-ce le châtiment, dit-il. Dieu des armées ? »
    Alors il s'entendit appeler par son nom
    Et quelqu'un qui parlait dans l'ombre lui dit : Non.

    Waterloo ! Waterloo ! Waterloo ! morne plaine !
    Comme une onde qui bout dans une urne trop pleine,
    Dans ton cirque de bois, de coteaux, de vallons,
    La pâle mort mêlait les sombres bataillons.
    D'un côté c'est l'Europe et de l'autre la France.
    Choc sanglant ! des héros Dieu trompait l'espérance ;
    Tu désertais, victoire, et le sort était las.
    O Waterloo ! je pleure et je m'arrête, hélas !
    Car ces derniers soldats de la dernière guerre
    Furent grands ; ils avaient vaincu toute la terre,
    Chassé vingt rois, passé les Alpes et le Rhin,
    Et leur âme chantait dans les clairons d'airain !

    Le soir tombait ; la lutte était ardente et noire.
    Il avait l'offensive et presque la victoire ;
    Il tenait Wellington acculé sur un bois.
    Sa lunette à la main, il observait parfois
    Le centre du combat, point obscur où tressaille
    La mêlée, effroyable et vivante broussaille,
    Et parfois l'horizon, sombre comme la mer.
    Soudain, joyeux, il dit : Grouchy ! - C'était Blücher.
    L'espoir changea de camp, le combat changea d'âme,
    La mêlée en hurlant grandit comme une flamme.
    La batterie anglaise écrasa nos carrés.
    La plaine, où frissonnaient les drapeaux déchirés,
    Ne fut plus, dans les cris des mourants qu'on égorge,
    Qu'un gouffre flamboyant, rouge comme une forge ;
    Gouffre où les régiments comme des pans de murs
    Tombaient, où se couchaient comme des épis mûrs
    Les hauts tambours-majors aux panaches énormes,
    Où l'on entrevoyait des blessures difformes !
    Carnage affreux! moment fatal ! L'homme inquiet
    Sentit que la bataille entre ses mains pliait.
    Derrière un mamelon la garde était massée.
    La garde, espoir suprême et suprême pensée !
    « Allons ! faites donner la garde ! » cria-t-il.
    Et, lanciers, grenadiers aux guêtres de coutil,
    Dragons que Rome eût pris pour des légionnaires,
    Cuirassiers, canonniers qui traînaient des tonnerres,
    Portant le noir colback ou le casque poli,
    Tous, ceux de Friedland et ceux de Rivoli,
    Comprenant qu'ils allaient mourir dans cette fête,
    Saluèrent leur dieu, debout dans la tempête.
    Leur bouche, d'un seul cri, dit : vive l'empereur !
    Puis, à pas lents, musique en tête, sans fureur,
    Tranquille, souriant à la mitraille anglaise,
    La garde impériale entra dans la fournaise.
    Hélas ! Napoléon, sur sa garde penché,
    Regardait, et, sitôt qu'ils avaient débouché
    Sous les sombres canons crachant des jets de soufre,
    Voyait, l'un après l'autre, en cet horrible gouffre,
    Fondre ces régiments de granit et d'acier
    Comme fond une cire au souffle d'un brasier.
    Ils allaient, l'arme au bras, front haut, graves, stoïques.
    Pas un ne recula. Dormez, morts héroïques !
    Le reste de l'armée hésitait sur leurs corps
    Et regardait mourir la garde. - C'est alors
    Qu'élevant tout à coup sa voix désespérée,
    La Déroute, géante à la face effarée
    Qui, pâle, épouvantant les plus fiers bataillons,
    Changeant subitement les drapeaux en haillons,
    A de certains moments, spectre fait de fumées,
    Se lève grandissante au milieu des armées,
    La Déroute apparut au soldat qui s'émeut,
    Et, se tordant les bras, cria : Sauve qui peut !
    Sauve qui peut ! - affront ! horreur ! - toutes les bouches
    Criaient ; à travers champs, fous, éperdus, farouches,
    Comme si quelque souffle avait passé sur eux.
    Parmi les lourds caissons et les fourgons poudreux,
    Roulant dans les fossés, se cachant dans les seigles,
    Jetant shakos, manteaux, fusils, jetant les aigles,
    Sous les sabres prussiens, ces vétérans, ô deuil !
    Tremblaient, hurlaient, pleuraient, couraient ! - En un clin d'oeil,
    Comme s'envole au vent une paille enflammée,
    S'évanouit ce bruit qui fut la grande armée,
    Et cette plaine, hélas, où l'on rêve aujourd'hui,
    Vit fuir ceux devant qui l'univers avait fui !
    Quarante ans sont passés, et ce coin de la terre,
    Waterloo, ce plateau funèbre et solitaire,
    Ce champ sinistre où Dieu mêla tant de néants,
    Tremble encor d'avoir vu la fuite des géants !

    Napoléon les vit s'écouler comme un fleuve ;
    Hommes, chevaux, tambours, drapeaux ; - et dans l'épreuve
    Sentant confusément revenir son remords,
    Levant les mains au ciel, il dit: « Mes soldats morts,
    Moi vaincu ! mon empire est brisé comme verre.
    Est-ce le châtiment cette fois, Dieu sévère ? »
    Alors parmi les cris, les rumeurs, le canon,
    Il entendit la voix qui lui répondait : Non !"

    Putaing si après ça on n'est pas champions du monde, cong !
  • italia67 a écrit, le 2012-12-01 21:58:51 :
    C'est d'entendre le coach répondre " Moi je ne c'est pas quoi dire" au sujet d'un manque de rythme voir d'animation de jeu!!!

    Ce n'est pas un entraîneur, c'est un formateur. Il va falloir trouver quelq'un à la hauteur et vite...

    italia67 a écrit, le 2012-12-01 21:58:51 :

    Ils se voyaient tous en National avant même d'avoir commencé le championnat!
    Qu'ils retombent très vite sur terre car là ça commence à bien faire

    Que dire des supporters qui voyaient le Racing en L1 dans 4 ans. J'ai peur qu'on ne reverra jamais le Racing à ce niveau....
  • http://ub90.free.fr/_FILES/photos/2012-2013/gr/asarreunion1.jpg

    http://ub90.free.fr/_FILES/photos/2012-2013/gr/asarreunion2.jpg
  • Si ça continue comme ça on a vite fait de tomber a la 12eme place.
  • Sarre-Union respire, le Racing transpire

    http://www.lalsace.fr/fr/images/B6DF13FC-3140-4C8B-9770-82ECAECA3...

    Khalid Kersanne (à g.) et Sarre-Union ont pris le meilleur sur David Ledy et une équipe du Racing bien trop frileuse. Jean-Marc Loos

    Après une catastrophique série de 8 revers et 1 nul, l'US Sarre-Union a relevé la tête hier chez elle en infligeant sa 3 e défaite, la 2 e consécutive (1-0), à un RCSA à côté de ses crampons et rejeté à 7 points du nouveau leader mulhousien. L'entraîneur strasbourgeois François Keller n'hésite pas à parler de « crise profonde ».

    Ludovic Golliard a beau avoir rendu son brassard de capitaine du Racing cette semaine, le défenseur central, aligné hier comme milieu récupérateur, ne parle jamais pour ne rien dire. A la sortie du stade omnisports de Sarre-Union où le Racing venait d'encaisser sa 3 e défaite - la 2 e de rang -, le Bisontin a été l'un rares Strasbourgeois à accepter de s'exprimer, même si, pour lui, il n'y avait « pas grand-chose à dire. » Il l'a tout de même dit en des termes sans équivoque. « Il faut que nous fermions nos gueules, nous nous fassions tout petits, nous nous mettions le cul par terre (sic) et nous enfilions le bleu de chauffe. Il faut assumer. C'est nous qui jouons, personne d'autre. »

    Hier, la cabane est tombée sur le chien meinovien qui a surtout joué à la baballe et quitté l'Alsace bossue la queue entre les pattes. Sarre-Union n'avait gagné qu'une fois jusqu'ici et venait d'enchaîner 8 défaites et 1 nul. « C'était le match idéal pour se relancer », constate Marc Keller, président dépité qui s'est adressé aux joueurs sitôt cette nouvelle déconvenue. « Nous n'avons pas su le faire. »

    Pas su ou pas pu ? Toute cette semaine, avant un 8 e tour de Coupe de France à la Meinau contre la lanterne rouge de Ligue 2, Sedan (dimanche à 15h), cette question va tarauder François Keller et ses hommes. Inutile de tourner autour du pot : dans un match d'un niveau globalement faible, les Racingmen sont passés à travers. Pourtant, leur entraîneur avait procédé aux changements annoncés. Thomas Martin et Vincent Guignery étaient restés à la maison. Anthony Sichi et Gauthier Pinaud ont fait banquette jusqu'au bout. Soient quatre des onze titulaires contre Yzeure.

    Mais là où Perrin et les autres s'étaient offert une multitude d'occasions contre les Auvergnats, ils n'en ont eu que « très peu » (dixit Marc Keller) sur la pelouse de la lanterne rouge. A mesure que celle-ci retrouvait des couleurs, le RCSA s'est éteint. C'est vrai, il crut avoir ouvert le score à la 54 e lorsque Julien Perrin propulsa au fond un tir puissant de Coulibaly à 30 m que Collas n'avait pu maîtriser. Mais l'arbitre assistant avait au préalable levé son drapeau pour un hors-jeu de l'ancien Bisontin.

    « Nous jouons comme une équipe qui doute »

    Evidemment, si ce but avait été validé, la face du derby aurait pu en être changée. « Mais quand on ne marque pas, on s'expose à ce qui nous est arrivé : prendre un but sur la première occasion adverse », regrette Marc Keller.

    Reste que ce but, le 5 e seulement de l'USSU en 13 journées, ne doit rien à personne. Il est le fruit du premier mouvement construit du match. Décalé à droite, Oulahri dut s'y reprendre à deux fois pour tromper un Duki qui s'était interposé sur sa première tentative, mais eut la malchance de repousser le ballon dans les pieds du Sarre-Unionnais (72 e).

    D'ailleurs, sans ce même Duki, plus heureux dans ses interventions que contre Yzeure et décisif sur une frappe enveloppée de Tergou (87 e) et une sortie dans les pieds de Belktati (89 e), Sarre-Union aurait pu enfoncer davantage encore la tête du Racing sous l'eau. « On a joué pour gagner, mais ça ne s'est pas vu », se désole un François Keller hagard. « Il faut qu'on se réveille. Nous n'avons pas le bon état d'esprit. La crise est peut-être plus profonde que nous le croyions. Nous jouons comme une équipe qui doute. »

    Une équipe que semblent maintenant effrayer ses propres fantômes. Au point d'en déstabiliser un Marc Keller « inquiet » pour la course à la montée. « Si on joue avec la peur ? Allons, allons, on est en CFA. Moi, je n'ai pas peur de monter en National. Nous sommes à Strasbourg, il faut assumer. J'ai parlé aux joueurs, mais ce n'est pas la peine de parler. Il faut gagner des matches. Inutile de faire 15000 réunions. »

    Tout est dit. On avait le sentiment que tout l'avait déjà été cette semaine lors de l'explication de texte entre joueurs. Ça ne s'est pas vu non plus hier à Sarre-Union.

    VOIR Le film détaillé du match sur www.lalsace.fr

    Froemer : « Ça fait du bien »

    La situation précaire de l'USSU ne l'incite évidemment pas à danser la gigue, mais le coach sarre-unionnais Olivier Froemer l'avouait hier soir après la victoire de ses hommes : « Ça fait du bien. » Lui qui indiquait la veille que son club n'avait pas abdiqué dans la course au maintien en est plus que jamais convaincu : « J'avais demandé aux joueurs de se faire plaisir. Ils l'ont fait et m'ont fait plaisir. Ils ont notamment été exemplaires dans le replacement, un secteur où nous avions parfois fait n'importe quoi lors des matches précédents. C'était la clef de ce derby, avec un bon gardien. C'est un match qu'on craignait. Nous avions peur de prendre une valise. Mais nous avons été solides de la 1re à la 94e. En face, on a senti une équipe fébrile et dans le doute. C'est une bonne victoire, mais je ne vais pas m'enflammer. Aujourd'hui (hier), c'était comme un match de Coupe. Mais un championnat se joue sur la durée. Dans 15 jours, nous allons à Auxerre pour y confirmer. C'est le plus important. »

    L'Alsace
  • 39 nouvelles photos de ce match sur racingstub.com :

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  • pauvre racing la saison prochaine tu rejoura dans une division qui est la tienne a savoir la cfa2 hi hi hi et youpiiii
  • C'est pas plus intélligent que cela un mulhousien de 72 ans ?
  • D'abord c'est le Cfa... LE... du genre masculin... Ce que ne semble plus être depuis longtemps l'originaire de la vallée du bois, Holtzwihr. La traduction aboutie aurait même put être - les sylviculteurs ne m'en voudront pas - aussi abruti qu'un bucheron haut-rhinois. Comment disait-il, par ailleurs ? Ah oui : hihihi !
  • Intelligent et mulhousien ça peux pas aller ensemble dans une même phrase positive.
  • En fait il suffit de lire ses mesages sur le forum pour comprendre...
  • Moi qui suis mulhousien, mais d'origine strasbourgeoise mais ayant vécu concomitamment à Saint Louis et Colmar... je te remercie de me glisser dans le même sac que l'homme des bois...
  • Perle de François Keller: On a joué pour gagner mais ça ne s'est pas vu.

    M'sieu, m'sieu j'avais tout super révisé les cours pour l'interro et même les questions de l'interro, j'vous jure, mais ça s'est pas vu. M'sieu, soyez pas vache, mettez moi une bonne note, même que ma copie elle est blanche. Eh, M'sieu!
  • On a fait de la grosse daube.. C'est tout.
    Mais qui peut faire quoi a l'heure actuelle ?
    Quel peut être l'électrochoc ?
    Hasek entraîneur ? Dugueperoux ?
    Laisser Keller et voir ce qui se passe ?
  • Comme personne ne parle des joueurs de Sarre-Union, j'ai juste envie de souligner l'excellent match de Kersanne, récemment recruté par l'USSU et déjà promu capitaine. Hier il a fait un boulot d'enfer.
  • A Sarre-Union,Oulah...ri et le Racing pleure
  • mediasoc a écrit, le 2012-12-02 11:23:03 :
    Comme personne ne parle des joueurs de Sarre-Union, j'ai juste envie de souligner l'excellent match de Kersanne, récemment recruté par l'USSU et déjà promu capitaine. Hier il a fait un boulot d'enfer.

    Exact, gros match de sa part , mais c'est également le spécialiste des coups-bas , il passe son match a faire sa , mais il faut aussi des joueurs comme ça...
  • USSR - RCS, la revue de web

    Après sa défaite à domicile contre Yzeure, le Racing n'a pas su réagir à Sarre-Union et enchaine avec une seconde défaite de rang (1-0). Retour sur un derby alsacien à oublier au plus vite pour les joueurs strasbourgeois...

    Cliquez ici pour lire la suite de cet article
  • François démission François démission !!!! X-( X-( X-(
    Chaque match la musique est la même : "je n'ai pas encore trouvé la bonne formule" ! On est proche de la mis saison et il cherche encore le système de jeu qui marche...bravo! =D La titularisation de Golliard a la place de récupérateur est pour moi un aveu de faiblesse du coach qui ne sait plus quoi faire et qui ne trouvera pas la solution !
    Et après, c'est clair qu'avec Sichi et Pinaud sur le banc on risque certainement pas de gagner ! Les vrais choix à prendre c'est Ledy ou Perrin pour commencer! IL nous faut un attaquant de pointe et pas 2!
    Il doit bien rigoler Golliard, il perd son brassard de capitaine, bravo! ON l'a pas entendu parlé hier soir Sikimic non ???
    Tous les joueurs ont déjà joué en National, L2 et L1 pour certains...Mais ils sont tous nuls à chier!
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